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27 octobre 2022 4 27 /10 /octobre /2022 19:00

J’ai dans mon jardin

deux néfliers de notre région.

On en rencontre souvent l

ors des promenades en campagne Lauragaise

dans les haies.

En cette période d’automne

les fruits ne sont pas encore mûrs.

Il faut encore attendre un peu pour les récolter et les manger.

 

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25 octobre 2022 2 25 /10 /octobre /2022 19:00

Je mets ce mardi le 14° billet de Pierre Escorsac qui fut diffusé sur les ondes de "Radio Coteaux". Vous auriez pu l’écouter en Pocast par internet sur le site "Radio Coteaux" à la rubrique" c'est déjà lundi" "Radio Coteaux" 104,5 et 97,7!

Je pense que ce billet va vous inspirer quelques réactions que vous ne manquerez pas de placer ici en commentaire. Ce propos reste toujours d’actualité!

Je remercie ce journaliste qui m’a aimablement autorisé à le diffuser sur mon blog. Je me demande comment je dois illustrer ces propos? Après réflexion j’ai retenu ces quelques photos : hélas pas d’oies mais des pigeons et des poules !

Mais où étaient donc passées les oies du Capitole, à Washington ? Si elles avaient été là, en faction sur les marches du Parlement américain, les hordes sauvages pro-Trump, n'auraient peut-être pas pénétré aussi facilement dans le temple inviolé de la Démocratie américaine. Les fières cacardeuses, les jars au cou dressé et au bec vengeur auraient donné l'alerte, comme l'avaient fait dans la Rome antique les oies du Capitole de Rome. Tout le monde connaît cet épisode épique, entré dans la Légende. Nous sommes au VI° siècle. Après le sac de Rome par les vaillants Gaulois de Brennus, les Romains s'étaient réfugiés dans la citadelle du Capitole, sur l'une des collines dominant la Ville éternelle.

Une nuit, les troupes gauloises tentèrent de prendre le Capitole. Les contemporains d'Astérix et Obélix avancèrent en silence pour ne pas réveiller les soldats romains. Mais, malgré toutes ces précautions, leur tentative avorta. Et à cause de qui ? Et bien à cause des oies qui avaient été disposées en sentinelles autour du temple de Junon. Les oies à l'ouïe fine se mirent à crier toutes en chœur pour donner l'alerte. Les légions du Consul Marcus Manlius (appelé aussi Capitolius), réveillées en sursaut, se mobilisèrent sur le champ pour repousser l'assaillant.

Depuis, ce fait d'armes réglé non pas au pas de loi, mais au cri de l'oie, n'a cessé d'enchanter la mémoire populaire. Les oies du Capitole sont aussi célèbres que les cochons rôtis que Dame Carcasse avait envoyés par-dessus les créneaux de la Cité de Carcassonne, pour tromper l'ennemi.

Par contre, il faut rétablir une vérité : Non, ce n'est pas l'oie de Masseube qui a défendu les portes du Capitole de Toulouse, contrairement à ce que certains ont pu raconter à tort.

Le Capitole de Toulouse et celui de Rome n'ont en commun que l'appellation. Mais, les oies sont quand même venues sur la place du Capitole, dans la Ville Rose, il y a quelques années, dans le cadre d'une opération de promotion originale.

C'est la Confédération paysanne qui avait pris cette judicieuse initiative pour défendre l'agriculture traditionnelle et les producteurs de canard, au moment de l'épizootie de grippe aviaire.

Et, si elles ne se sont pas portées au secours du Capitole, qui n'était pas menacé, les oies de chez nous ont au moins défendu l'image de nos volailles fermières...

Pour en revenir à la réputation d'excellentes gardiennes faite aux oies, on observera que ce talent les a poursuivies jusque dans notre monde contemporain. C'est ainsi qu'en Écosse, où les porteurs de kilt n'hésitent pas à s'entourer d'oies, au risque de se faire pincer, les belles gallinacées sont utilisées pour surveiller les distilleries de whisky. Mais oui, elles assument leur rôle de gardiennes de l'alambic d'une ouïe sûre et d'un bec empressé. C'est le système d'alarme le plus économique et le plus écologique qui soit. En plus, en fin de carrière, on peut les déguster bien dodues, avec une pointe de whisky pour les parfumer. Après le « famous grouse », (le Lagopède d’Écosse emblème du meilleur scotch), le « famous geese » régale les fins palais.

Tout ceci pour dire que, si les Américains avaient eu des oies en ordre de bataille autour du Capitole, l'histoire aurait peut-être tourné autrement. Le chef de guerre des pro-Trump, avec ses cornes d'opérette et sa peau de bison toute poilue, aurait sans doute battu en retraite, sonné par l'alarme des volatiles. Mais il faut croire que la stratégie des yankees bat de l'aile. La preuve : ils paient dans cette attaque du Capitole l'aversion que certains d'entre eux nourrissent bêtement à l'égard du canard et du foie gras.

Il est temps que le nouveau Président Joe Biden rétablisse le Jeu de l'Oie ! N'est-ce pas Ariane Daguin ?

 

Si vous souhaitez découvrir des portes et des heurtoirs,

suivez ce lien :

http://gabray31.eklablog.com/

 

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24 octobre 2022 1 24 /10 /octobre /2022 19:00

Parfois, je vais à la gare de Leucate - la Franqui.

J’ai le plaisir d’y attendre l’arrivée d’amis

qui viennent me rendre visite.

J’ai donc le temps de photographier

les rails de la voie ferrée.

Je patiente en bonne position pour capturer

le train qui s’arrête face à la gare.

Si vous souhaitez découvrir

l’inule visqueuse, suivez ce lien :

http://gabray31.eklablog.com/

 

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21 octobre 2022 5 21 /10 /octobre /2022 19:00

De la place du village,

deux belles tours féodales remaniées,

vous contemplent !

Je ne vais pas résumer les informations

sur ce château de Salvagnac dans le Tarn,

mais je vais vous inviter à suivre ce lien

pour en connaître plus :

https://wikimonde.com/article/Ch%C3%A2teau_de_Salvagnac

 

J’ai pris le temps de faire quelques clichés

de ce château où était installé

une école religieuse

qui a fermé depuis peu. 

On note que ce château est inscrit

aux monuments historiques

depuis le 15 janvier 1980, il ne se visite pas.

Si vous désirez découvrir quelques clichés

de cette commune de Salvagnac,

suivez ce lien :

http://gabray31.eklablog.com/

 

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18 octobre 2022 2 18 /10 /octobre /2022 19:00

Je mets ce mardi le 13° billet de Pierre Escorsac qui fut diffusé sur les ondes de "Radio Coteaux". Vous auriez pu l’écouter en Pocast par internet sur le site "Radio Coteaux" à la rubrique" c'est déjà lundi" "Radio Coteaux" 104,5 et 97,7!

Je pense que ce billet va vous inspirer quelques réactions que vous ne manquerez pas de placer ici en commentaire. Ce propos reste toujours d’actualité!

Je remercie ce journaliste qui m’a aimablement autorisé à le diffuser sur mon blog. Je me demande comment je dois l’illustrer ces propos? Après réflexion j’ai retenu ces quelques photos de fruits : les kakis !

Comme la langue d'Esope, l'arme alimentaire peut être la meilleure et la pire des choses.

C'est une arme à double tranchant, selon qu'elle est entre des mains bienveillantes ou dans les mains sales d'empoisonneurs sans scrupules. L'arme alimentaire est assurément la meilleure des choses, dans la mesure où elle est vitale. C'est elle qui nourrit le monde et c'est elle qui garantit la survie de notre espèce depuis la nuit des temps. C'est tout un potentiel qui nourrit les circuits commerciaux, qui crée des richesses, fonde les échanges, favorise le développement, émancipe l'humanité.

Mais à l'opposé de cette image idyllique, l'arme alimentaire peut devenir la pire des choses si ses vertus sont dévoyées, si sa vocation est détournée, si son objet est disqualifié. C'est ainsi qu'éclatent les scandales alimentaires, ces bombes à retardement qui surviennent longtemps après le début des mauvaises pratiques qui ont échappé à tous les contrôles.

Ainsi en va-t-il du scandale de l'oxyde d'éthylène qui vient d'exploser au grand jour et à la face du monde. De quoi s'agit-il ? Des centaines de produits de grande consommation ont été rappelés ces dernières semaines, soupçonnés de recéler une substance cancerigène à haute dose.

Des lots de glaces, de sucre en poudre, de fromages, de gâteaux, de conserves de thon ont été mis hors circuit en urgence. Ces poduits infestés, en provenance d'Inde ou de Turquie, contiennent des graines de sésame, de caroube pour les glaces, vendus comme « bio » par dessus le marché.

Les contrôles effectués en France et en Europe ont révélé des teneurs en oxyde d'éthylène 3500 fois plus élevées que la « limite maximale de résidus », cette fameuse LMR sur laquelle le phytothérapeute Maurice Mességué se montrait vigilant et intransigeant.

Pour vous donner un avant-goût, de la nocivité de l'oxyde d'éthylène, voici quelques propriétés de ce poison. C'est un gaz incolore et inflammable commercialisé comme agent stérilisateur dans l'agro-alimentaire, désinfectant pour éviter les moisissures. Il est utilisé sans dommage dans le secteur pharmaceutique et la stérilisation du matériel chirurgical .

Par contre, s'il est ingéré il est très toxique pour l'homme et l'animal. Il peut provoquer des affections du poumon, des cancers et même des mutations génétiques. On s'en servait pour produire du gaz moutarde. C'est tout dire !

Voilà donc un produit qui devrait être banni de tout circuit alimentaire. Et bien oui, c'est le cas. En théorie, ce produit chimique est interdit dans l'Union Européenne comme pesticide depuis 1991 et en tant que produit de protection des denrées alimentaires depuis 2011. Pis, depuis 1994, l'Agence de recherche sur le cancer a classé ce produit chimique dangereux dans le Groupe 1, un classement confirmé en 2008.

Question subsidiaire : alors comment se fait-il que ce poison persiste encore dans le contenu de certains aliments de consommation courante ? Et bien, malgré tous les contrôles mis en place, principalement dans les pays européens, il y a du déchet, il y a des produits infestés qui passent entre les mailles du filet, au grand dam de l'industrie agro-alimentaire trompée par des fournisseurs peu scrupuleux. Le sénateur Laurent Duplomb, auteur du premier rapport d'information sur les retraits et rappels d'aliments, explique dans une interview à « La Dépêche du Midi », que nous sommes paradoxalement victimes de la transparence des contrôles. En effet, en indiquant nous-mêmes ce que l'on contrôle, les tricheurs, les pousse au crime alimentaire, sont mis au courant de ce qui n'est pas contôlé. Un comble ! Dès lors, ils en profitent pour transférer leurs substances toxiques de conservation vers d'autres produits...

Alors, comment combattre ces empoisonneurs de nos assiettes ? D'abord en identifiant avec précision l'origine du sésame et de la caroube importés. Ensuite en multipliant les contrôles sanitaires, en créant une task force de l'anti-poison, en agissant dans la discrétion pour plus d'efficacité. Enfin, en appliquant pleinement une réglementation édictée depuis 20 ans en la matière.

J'ajoute que les responsables de tromperies sur la marchandise aussi graves, devraient être condamnés à de très fortes amendes dont le produit serait reversé à la recherche médicale.

Enfin, l'occasion est ici trop belle pour inciter les consommateurs à consommer local, à préférer les circuits courts aux transports au long cours. A préférer les produits du terroir à ceux qui sont susceptibles d'avoir transité par des lieux de stockage pourris et mafieux.

Oui à « l'Ice Cream », non à « l'Ice Crime » !

 

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14 octobre 2022 5 14 /10 /octobre /2022 19:00

Hélas ! La chance n’est pas avec moi,

je désirais visiter ce château

mais la pluie m’a perturbé !

Je suis resté au bas

j’ai trouvé le sol trop glissant

pour suivre le sentier qui y conduit.

Le parapluie dans certaines occasions

ne résout pas tous les problèmes.

Je me suis contenté de réaliser

quelques photographies

de cette forteresse perché

dans la brume d’octobre.

Pour en savoir plus,

je vous invite à suivre ce lien :

https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Ch%C3%A2teau_de_Puilaurens

 

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11 octobre 2022 2 11 /10 /octobre /2022 19:00

Ces photos manquent de soleil

et cette belle bâtisse semble un peu triste !

Ce château a été édifié à partir de 1540 par Jean de Joyeuse

il est situé à Couiza dans le département de l’Aude.

Il est classé aux monuments historiques en 1913 !

Aujourd’hui il est devenu un superbe château hôtel restaurant,

hélas, il ne se visite plus désormais.

 

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7 octobre 2022 5 07 /10 /octobre /2022 19:00

Mes beaux crocus jaunes s’ouvrent au soleil d’octobre.

Ils poussent un peu partout au gré de leur fantaisie !

Ils doivent se plaire dans mon terrain argileux et calcaire.

Avec le temps ils se reproduisent et se multiplient.

Pour découvrir les cyclamens sauvages,

je vous invite à suivre ce lien :

http://gabray31.eklablog.com/

 

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6 octobre 2022 4 06 /10 /octobre /2022 19:00

 

Les voila qui s’ouvrent au bon soleil de l’automne

ces belles petites fleurs bleutées !

Elles embellissent un coin de mon espace vert.

Elles déploient leurs pétales à la période des vendanges !

Je les appelle les vendangeuses, ce sont de beaux asters.

Pour découvrir les tournesols, je vous invite à suivre ce lien :

http://gabray31.eklablog.com/

 

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4 octobre 2022 2 04 /10 /octobre /2022 19:00

Je mets ce mardi le 12° billet de Pierre Escorsac qui fut diffusé sur les ondes de "Radio Coteaux". Vous auriez pu l’écouter en Pocast par internet sur le site "Radio Coteaux" à la rubrique" c'est déjà lundi" "Radio Coteaux" 104,5 et 97,7!

Je pense que ce billet va vous inspirer quelques réactions que vous ne manquerez pas de placer ici en commentaire. Certes cela reste toujours d’actualité,!

Je remercie ce journaliste qui m’a aimablement autorisé à le diffuser sur mon blog. Je me demande comment je dois illustrer ces propos? Après réflexion j’ai retenu ces quelques photos : de la Garonne à Portet !

Que d'eau... que d'eau ! s'exclamait platement le maréchal de Mac Mahon devant l'étendue du désastre des grandes crues de la Garonne en 1875. Et le préfet de répondre au président de la République : « Et encore, M. le Président, vous n'en voyez que le dessus » ! Il ne croyait pas si bien dire, le préfet de l'époque. Car le dessous d'une inondation est pire que le dessus. Quand les eaux se retirent, elles laissent des traces profondes et des dégâts considérables. Des dommages matériels énormes, quand ce ne sont pas des pertes humaines irréparables. L'inondation donne une image d'impuissance face à la force des éléments. Si le feu anéantit tout sur son passage, l'eau recouvre tout de toute son emprise.

Chaque fois que le trop plein des rivières et des fleuves déborde , c'est le même spectacle de désolation. On le voit ces temps ci dans le Lot-et-Garonne, dans le Tarn-et-Garonne, dans le Lot et aussi dans les Landes et en Gironde. Des villes, des villages, des maisons encerclées et envahies. De l'eau à perte de vue et des routes englouties. Des naufragés isolés, des évacuations par bateaux, des sauvetages par les airs. Des sapeurs-pompiers, des services de secours, des élus, des volontaires mobilisés pour porter assistance à des populations prisonnières des flots. Des animaux aussi. On a pu voir le sauvetage d'un cheval et d'un chien promis à la noyade. Sauver la vie. Sauver des vies.

La météo, les prévisions, les calculs, les simulations, les projections ont beau l'annoncer, la montée des eaux fait toujours une irruption violente dans le quotidien des gens. On veut ne pas y croire. Et pourtant, le scénario se répète : d'abord la crue menace, puis elle s'impose comme une force inéluctable. Ici l'eau affleure là où on ne l'a jamais vue monter, surprenant les habitants. Là, elle frappe pour la deuxième, la troisième et même la quatrième fois, plongeant les riverains dans le désarroi.

Est-ce que tout est dit pour autant ? Est-ce qu'il faut se résigner face à la catastrophe, sans réagir ? En plein cauchemar, ce qui m'impressionne le plus, c'est le courage des naufragés. S'ils ont de l'eau jusqu'à le ceinture, ils ne se laissent pas submerger par le découragement. Ils font face. Voyez ces commerçants qui épongent leurs réserves noyées, ces familles qui écopent le sol de la salle à manger, ces paysans vigilants qui savent que dans quelques jours, les champs et les prairies vont revenir à la surface. Voyez les anciens qui ne veulent pas quitter leurs maisons, parce que, disent-ils, ils en ont vu d'autres. Et des bien pires. Face à la fatalité, les hommes et les femmes résistent, serrent les dents sans céder à la plainte. Ils restent dignes, la tête hors de l'eau, comptant sur eux-mêmes, en attendant des jours meilleurs.

La tête hors de l'eau. Voilà l'image forte qui ressort de ce triste épisode dont il faudra bien tirer les leçons sur le plan technique, environnemental, météorologique, climatique pour éviter une sinistre répétition. Mais, au delà du debriefing, la leçon la plus marquante que l'on doit tirer de tout ça, c'est une leçon humaine. Au moment où l'on se plaint de tout et du reste, il y a des hommes et des femmes qui restent debout. Et aucune vague, aucun virus, ne pourra les faire vaciller !

 

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